narF cognitive sans dormir (ce verbe n’existe pas)

Haïku::
Travail de session
Cognition des émotions
et compréhension

J’ai passé toute la semaine dernière à lire des livres de psycho pour y dénicher des notions de cognitivismes pour mon travail de Théorie du Cinéma. Après avoir remplis plusieurs pages de notes de lecture, j’étais prêt à me lancer dans la rédaction. C’était hier, après le souper. Le travail était à remettre aujourd’hui et il fallait que je me lève à 6h.

Ça a très bien été pour écrire. J’avais passé toute la journée à boire du thé (toujours la même poche), rendu au soir, j’était rendu aux cafés expresso faibles. Moi qui ne boit jamais de café, ça m’a réveillé un bloc!
Vers 4h30, j’ai eu terminé. Mais je faisais face à un dilemne. Est-ce que je serais mieux d’aller dormir, même si peu, ou bien de rester éveillé? J’ai finalement choisi de dormir, mais le temps d’aller me coucher, il ne me restait plus qu’une heure de sommeil. Et j’ai mis 15 minutes à m’endormir à cause de mon overdose faible de caféïne.
Je suis donc allé à mon cours de Cinéma Expérimental ce matin, où j’ai vu un très bon film de Michael Snow (So Is This, un film muet et sans image, juste des mots). Vraiment, je le trouve cool Michael Snow (c’est un réalisateur expérimental canadien) et je riais peut-être même un peu trop fort des jokes dans le films. Mais j’avais dormir juste 45 minutes alors ça explique…
J’ai ensuite survécu lors du cours de théorie du cinéma. Ce cours là, même avec une batterie chargée et un thé, on s’endors. Ça n’a pourtant pas été trop mal.
Maintenant, pouvez-vous m’expliquer comment ça se fait que je suis pas encore couché? Je viens de passer à travers une deuxième journée d’affilée sans trop de dégâts. Mais je me sens un peu bizarre. Je pense que je suis en train de faire une overdose d’adrénaline. J’imagine que c’est avec ça que j’ai passé la journée.
Oh… et il faut que j’écrive les dialogues de mon scénario pour demain. Voyons! On n’est même pas encore en fin de session!

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